Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre.

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 Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre.

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Sans foi ni loi

Leiss BarrowJe suis Leiss Barrow
Et je suis Sans foi ni loi
Messages : 10
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MessageSujet: Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre.   Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre. EmptyJeu 23 Mai - 12:10


Leiss Barrow


Identité

Nom : Barrow.
Prénom : Leiss.
Âge : 23 ans.
Sexe : Masculin.
Orientation sexuelle : Homosexuel.
Race : Hybride Neko.
Groupe : Rebelle.
In Real Life

Pseudo/Prénom : Goupix9.
Âge : Mentalement ou physiquement ? /PAF
Comment as-tu trouvé le forum : Écrire ici.
Code du règlement : Code Validé, By Candice ♥
Un commentaire : C'est beau. Prout.
Caractère

Sale caractère ; Leiss en gros, c'est une grande gueule qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Un bad boy. Tu le cherches, tu le trouves. Suivant la situation il s'énerve plus ou moins facilement, mais face à un Leiss énervé vous feriez mieux de ne pas rester trop près de lui car en plus d'être imposant Leiss sait se battre, il sait très bien se battre même. Il fait la gueule quand il a pas ce qu'il veut. Il est grognon en toutes circonstances. Il dit ce qu'il pense et s'en fout de si ça te plait ou non.

Séducteur ; Leiss est beau et Leiss le sait. Il aime se servir de ses atouts physique pour amadouer les gens ou autre. Il sait qu'il est sexy et qu'il a du charme, il ne s'en cache pas vraiment d'ailleurs. Séduire les autres ça l'amuse, il aime jouer avec les sentiments. Ça peut paraître cruel de jouer avec les sentiments des autres mais Leiss ne peut pas s'en empêcher. Disons que pour lui la notions de sentiment est assez abstraite. Il est plutôt du genre solitaire qui n'aime pas s'attacher aux autres alors pour lui ce que peuvent ressentir ces autres lui importe peur. Enfin c'est ce qu'il fait croire en tout cas.

Manipulateur ; Leiss se sert constamment des autres. Pour lui vous n'êtes que des pions sur un échiquier dont il se sert avec habileté pour arriver à ses fins lorsqu'il en a besoins, bien entendu. Méfiez vous de lui, il est vraiment doué pour amadouer les gens afin de les avoir à ses côtés pour les manipuler du mieux qu'il peut. C'est un peu comme un jeu pour lui, je dirais même, c'est un jeu pour lui. S'amuser avec les gens, les faire tourner en bourrique, les diriger comme de vulgaires pantins. Leiss a vraiment un don pour ça.

Solitaire ; Leiss aime être seul. Non pas que la foule le dérange vraiment, mais disons qu'il n'y a jamais été habitué. Il n'a jamais eut de vrais amis et la seule personne qui l'a aimé il a préféré l'abandonner par peur. Il a besoins de liberté et plus on est nombreux moins on est libre. Voilà ce que pense Leiss.

Méfiant ; Leiss ne fais jamais confiance. Plus méfiant que lui c'est sûrement juste impossible. Même si vous pensez qu'il vous a attribué sa confiance, il sera toujours sur ses gardes. Même si il fait comme si il vous appréciez, même si il paraît gentil avec vous, même si il paraît attentionné. Il a juste une idée derrière la tête, mais il se méfiera toujours de vous comme de la peste.

Fier ; Leiss est digne et a sa fierté. Il a son honneur. C'est sûrement ça qui fait un peu son sale caractère d'ailleurs. Sa fierté le pousse à ne jamais perdre espoir et à être têtu comme une mule. Il déteste perdre la face devant les autres, c'est pourquoi il essaye de faire en sorte que cela n'arrive jamais.

Sentimental refoulé ; Leiss ne comprend pas la notions de sentiment. On ne peut pourtant pas dire qu'il ne ressente rien, au contraire. Disons plutôt qu'il n'aime pas ça. Les sentiments sont comme un poison violent au goût citron qu'on finit par avaler de travers malgré tout. L'amour, la joie, la tristesse, la nostalgie, la jalousie toutes ces choses qui peuvent détruire n'importe qui. Leiss ne veut rien ressentir, alors il fait comme si il ne ressentait rien parce que quand on veut on peut. Enfin c'est ce qu'il croit, car en fait même si il le cache, il ressent les mêmes émotions que n'importe qui. Il a même fini par s'attacher à certaines personnes au fil du temps, même si en général lorsqu'il s'attache à quelqu'un il préfère fuir, fuir avant que ça ne prenne des proportions trop importante. Oui Leiss a un petit côté lâche...
Physique

Environ 1 mètre 80 pour tout juste une soixantaine de kilos, pourtant Leiss a un corps plutôt imposant, en effet il est pas mal musclé, mais pas trop tout de même. Juste ce qu'il faut. Ses cheveux, ainsi que ses attributs de félins sont noir, sauf le bout de ses oreilles qui est blanc. Les traits de son visage sont plutôt doux, ce qui le rend très séduisant quant à ses yeux ils sont fins et perçants vêtues d'une belle couleur or. Niveau vestimentaire, Leiss a tendance à mettre des jeans assez moulants afin de faire ressortir ses fesses, oui parce qu'il est bien bâti le bonhomme et il n'est pas bête, il sait que c'est un atout et comme c'est un grand séducteur il met cet atout en valeur. Pour le haut de son corps, en général il porte des t-shirt,des gilets, ou des sweat-shirt. Il aime aussi tout particulièrement les longs manteau noir, leur trouvant une certaine classe. Oui Leiss aime tout ce qui est classe. Il aime être bien habillé, avec son air de grand brun ténébreux il pourrait séduire n'importe qui, n'importe quoi, et il aime vraiment ça.

Histoire

La solitude. Encore et toujours cette même solitude. Elle ne me déplait pas au fond. Cette grande chambre à moitié vide, cette chaise à côté de cette fenêtre. Personne pour me déranger, j'observe le monde de mes yeux dorés. Des infirmières viennent me rendre visite de temps en temps, elles viennent voir si je vais bien, parfois elles restent un peu avec moi, une heure, peut être deux, je crois que c'est pour voir mon comportement. Elles me posent des questions aussi, mais je ne répond pas, je préfère rester silencieux car je sais qu'elles finiront par se lasser et me laisseront tranquille. Des fois elles me font des prises de sang ou me mettent des perfusions dans le bras. Je n'aime pas les aiguilles alors ça me fait peur, mais je ne le montre pas, je ne voudrais pas qu'elles voient que je suis déstabilisé, je ne voudrais pas qu'elles croient que je suis faible. Je reste inexpressif et impassible.

Les minutes, les heures, les jours, les mois puis les années passent. Elles passent lentement mais sûrement. Petit à petit les choses évoluent autour de moi et moi même j'évolue également. Je commence à comprendre certaines choses, des choses qu'avant je ne comprenais pas vraiment. Je reste silencieux et impassible face à ce monde qui défile sous mes yeux. Je suis toujours enfermé dans cette chambre. En regardant ma fenêtre je rêve du monde, de ce à quoi il peut bien ressembler. Je me surprend alors à rêver de liberté. A rêver d'une vie ou je n'obéirais qu'à moi même. Car ces gens autour de moi je sais bien ce qu'ils veulent, je sais bien ce qu'ils attendent. J'ai compris. Je ne suis pas aussi bête que ce qu'il pense, je comprends plus de choses que ce qu'ils croient. Je sais plus de choses que ce qu'ils pensent. C'est très bien comme ça, j'ai l'avantage sur eux.

Je n'ai pas confiance en tout ces médecins je n'ai pas confiance en tous ces gens. Ils disent qu'ils s'occupent de moi, qu'ils prennent soin de moi. Je suis juste comme une oie qu'on gave avant de l'abattre pour la manger. Tôt ou tard, quand l'heure sera venue je sais bien qu'ils se débarrasseront de moi. Je ne pense pas qu'ils chercheront à me tuer... Ça serait plus du genre.. ils me donneront ou quelque chose comme ça. Ils me trouveront une utilité, une raison de vivre... Je ne veux pas qu'on décide de ce que je veux pour moi. Je ne veux pas qu'on vive à ma place. Je veux vivre moi même. Ce n'est pas parce que je suis le fruit d'une de leurs expériences farfelues que je vais me laisser faire sagement, sans rien dire, comme un bon toutou. Je suis à moitié Neko moi, pas Inu. Que les choses soient claires ; je ne les laisserais pas faire ce qu'ils veulent de ma vie.

Je laissa le temps passer, encore un peu. Le temps d'observer d'avantage et de façon plus intelligente qu'avant. Je devais trouver un moyen de partir. Un moyen de m'évader de cet endroit qui était comme une prison. On me bourrait de médicaments, des médicaments qui endorment, des médicaments qui calment ce genre de médicaments, on dirait de la drogue, j'ai l'impression d'être un légume parfois. Puis le jour arriva, le jour ou j'avais décidé de quitter cet endroit. Le matin un infirmier était venu me mettre une perfusion dans ma chambre. Je l'ai tout simplement assommé, puis je lui ai mit la perfusion histoire qu'il ne se réveille pas de sitôt. Je lui piquais ensuite ses vêtements pour les mettre, lui mettant les miens et je sortais enfin de ma chambre. Je marchais dans les longs couloirs du bâtiments, c'était blanc, tout blanc. Les murs, les gens... tout était blanc. Je gardais la tête baissé pour pas qu'on ne voit trop mon visage. Mes attributs de félin ? Mes oreilles étaient baissées et comme elles étaient de la même couleur que mes cheveux on ne les voyait pas, sauf le bout des oreilles que j'avais coincé sous les cheveux. Quant à ma queue elle était collé contre ma cuisse et comme le pantalon était un peu trop large elle ne se voyait pas non plus.

J'avançais dans le bâtiment en priant pour qu'on ne m’interpelle pas. Je voyais enfin la sortie, une porte, une porte toute simple. Je jetais quelques coups d’œil autour de moi puis m'avançais vers cette porte et là le malheur arriva, des hommes vinrent me parler pensant que j'étais leur collège. Malheureusement je n'avais pas vraiment prévu ce cas de figure et sur le moment je n'ai pas trouvé meilleure idée que de fuir en courant. Plusieurs hommes se mirent alors à ma poursuite me rattrapant facilement. J'essayais de me débattre mais ils ne me lâchaient pas, un des hommes me planta une seringue dans le cou. Je ne sais pas ce que c'était mais je me suis endormi dans les 5 secondes qui suivirent. Quand je me suis réveillé il était très tard dans la nuit, on m'avait menotté les deux mains de chaque côté de mon lit et mit une perfusion dans le bras, sûrement un médicament pour que je somnole.

Désormais les infirmières et infirmiers se méfiaient de moi comme la peste. J'étais vraiment comme un légume maintenant. Je n'avais pas le droit de bouger de mon lit sans qu'une "armée" d'infirmiers soient présente. Le temps continua de passer un peu. Je ne saurais dire combien de temps. Je n'avais pas tout mes esprits, pas toute ma tête, je passais mes journées à somnoler comme une personne sans vie sur mon lit, regardant ma fenêtre. Il ne me restait plus que ma liberté de penser. Je continuais de rêver à cette liberté, cette liberté que je n'avais pas réussi à atteindre. Puis un jour arriva ou plusieurs infirmiers et infirmières vinrent me détacher, ils m'ont donné des vêtements. Des vrais. Ce n'était pas une sorte de robe de chambre blanche, c'était de vrais vêtements. Je les mis sans broncher, je n'en avais de toute façon pas la force. En fait je priais intérieurement pour qu'ils mettent fin à mes jours. Qu'ils m'emmènent dans un endroit isolé et qu'ils m'abattent tout simplement. Qu'ils mettent fin à ce calvaire. Ils m'avaient remit les menottes une fois habillé, mais je n'étais plus attaché au lit. Deux infirmiers attrapèrent chacun un de mes bras et on sortit de ma chambre.

Contre toute attente on sortait du bâtiment. On me fit monter ensuite dans un véhicule avec toujours les deux infirmiers à mes côtés. On arrivait ensuite en ville, la voiture s'arrêtait alors pour nous déposer. On me fit sortir, les deux infirmiers tenant toujours chacun un de mes bras. On me faisait avancer dans les rues. Je regardais autour de moi, le regard vide, j'étais encore sous l'effet de leurs médicaments. Je me sentais mou, je ne réalisais pas vraiment que j'étais dehors pour l'instant. On marchait une bonne dizaine de minutes avant d'arriver devant une animalerie. C'est là que je réalisais. Je n'étais plus dans ma chambre, je n'étais plus dans ce bâtiment, j'étais enfin dehors. Mais en voyant l'animalerie, je savais ce qui allait m'arriver. Je me laissais entrainer à l'intérieur, faisant comme si je somnolais encore. Pensant que je n'avais donc pas encore retrouvé mes esprits les deux infirmiers me lâchaient et m'enlevaient les menottes une fois à l'intérieur de l'animalerie. Je les regardais doucement s’éloigner de moi. Je les voyais discuter avec une dame, me jetant de temps à autre des petits coups d’œil. Puis quand j'étais sûr qu'ils ne me regardaient plus j'ouvrais discrètement la porte pour partir en courant. Les infirmiers mirent quelques minutes à le remarquer.

Ils se mirent alors à ma poursuite, heureusement il y avait du monde dans cette ville. J'essayais de me fondre dans la foule. Volant discrètement un chapeau par ci et un manteau par là, je passais vite inaperçu. Je tournais une dizaine de minutes en ville au milieu de la foule puis je la quittais en courant. Je devais m'éloigner d'ici le plus possible pour l'instant. Ils étaient sans doute entrain de me chercher et cette fois pas question de me laisser rattraper. J'arrivais alors dans une forêt, c'était calme, l'endroit parfait. Je montais quelques branches d'un arbre bien touffu et je restais caché là, un moment, un long moment, plusieurs jours même. Je décidais ensuite de ressortir, d'aller faire un tour en ville. Je passais devant cette animalerie, je marchais plusieurs heures dans les rues. Pas l'ombre d'un infirmier, on dirait bien qu'ils ont abandonnés les recherches. C'est tant mieux.

Je laissais les jours filer entre mes doigts, les passant à découvrir la ville et tout ce qui l'entourait. Pour manger je faisais comme je pouvais, soit je trouvais des gens qui voulaient bien me nourrir soit je devais voler de la nourriture. Personne ne voulait donner du boulot à un hybride comme moi. La plupart des hommes me rejetaient. D'autres ont essayés de me capturer mais avec le temps j'étais devenu rapide et agile. Je continuais donc de vivre toujours aussi seul dans la crasse et la pauvreté, dormant dans la nature et mangeant ce que je trouvais. Puis un jour j'entendis parler d'un homme en ville, un homme qui venait souvent en aide à des humains et même à des hybrides demandant l'hospice. Après quelques recherches je réussis à obtenir son nom et son adresse. Je ne perdis donc pas de temps pour m'y rendre, j'avais besoins de quelque part ou me reposer, un endroit ou je pourrais manger et dormir correctement. J'avais besoins d'un peu de chaleur.

Je me rendis donc chez cet homme un beau jour de pluie. Mais contre toute attente c'est un jeune garçon qui m'ouvrit. Un jeune blond aux yeux bleus. Ce jeune garçon me fit entrer à l'intérieur, je restais assez méfiant, regardant tout autour de moi. C'était une grande maison, décoré avec goût. En fait c'était la première fois que j'entrais dans une maison, même si je le cachais j'étais assez mal à l'aise. Je laissais cependant le jeune homme soigner mes blessures, sans broncher. Je l'ai même laissé toucher mes attributs de félins, après réflexion je me dis que je n'aurais pas dû le laisser m'approcher de si près. Mais il avait l'air si gentil, si doux enfin, il n'avait pas que l'air, il l'était. Même si je restais méfiant, au fil des jours je me suis rapproché de ce jeune homme. Je me suis même mit à lui faire des câlins et des bisous sans qu'il n'ait à me le demander. Je crois que je m'attachais à lui petit à petit. Il était tellement mignon avec moi. J'aimais tellement l'embêter, le câliner, lui faire des bisous, ébouriffer ses doux cheveux blonds...

Mais il devenait de plus en plus important pour moi et de plus en plus envahissant. Je n'aimais pas cette situation et ma liberté me manquait tellement... J'avais plusieurs fois sous entendus mon départ en discutant avec le jeune blond. Mais je crois qu'il m'en voulait de vouloir le laisser seul ici, il s'accrochait à moi comme un parasite... mais je ne peux pas le nier, ça me touchait de le voir si attaché à moi. Jusque là, c'était la première personne à me donner de l'amour, il avait fait naître quelque chose en moi qui je pensais n'arriverait jamais ; les sentiments. Ça m'effrayait tellement. Je ne pouvais plus rester ici, je ne pouvais plus rester près de lui. Alors un matin, je suis partie. Sans le prévenir, sans lui laisser de mot. Je n'ai pas pu le prévenir. Je savais qu'il allait encore s'accrocher à moi si je le faisais et j'aurais cédé, je serais resté un peu plus. La scène se serait répété encore et toujours. Mais je ne voulais plus vivre enfermé même avec lui. J'avais besoins de cette liberté. Cette liberté que j'avais toujours tant désiré.

Il y avait un rêve en trop dans ma vie. Même si ça faisait mal c'était la strict vérité. J'ai donc décidé de sillonner les routes. Refermant mon cœur en essayant d'oublier ces sentiments à la fois agréable et destructeur que mon adorable blond m'avait donné. Je suis devenu un autre hybride. Un mauvais hybride, qui manipule et séduit les autres pour arriver à ses fins. Je ne voulais plus rien ressentir. Tout comme je ne voulais pas penser à ce garçon qui me manquait tant et que j'avais sûrement fait souffrir... J'étais de nouveau seul, mais pour de bon cette fois.
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Haku NakamuraJe suis Haku Nakamura
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♥ INFO DU PERSONNAGE♥
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MessageSujet: Re: Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre.   Leiss Barrow • Et plus tu t'ouvres à moi et plus je m’aperçois, que lentement je m'ouvre. EmptyJeu 23 Mai - 16:15

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