TOORAN

Nom : Inconnu Prénom : Tooran Âge : 19 ans Sexe : Féminin Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Race : Neko Groupe : Docile.

CARACTÈRE

Tooran est à supporter. Elle n'est pas calme, elle est toujours agitée, à crier, à fouiner partout, à commenter tout ce qui lui passe par la tête et à une fâcheuse tendance à poser des tas de questions, sur tout et n'importe quoi. Ce n'est pas le genre d'hybride à prendre lorsqu'on est retraité ! Elle aime s'amuser, jouer avec vos nerfs, mais au contraire, elle n'aime pas du tout qu'on se joue d'elle. Oui, elle est difficile à cerner. Ses colères ne vont jamais sans casse. En revanche, il est très simple de l'attiré dans vos filets, il suffit simplement de lui donner des sucreries qui font bien mal aux dents, c'est son pêcher mignon. Les légumes ? Hors de question. Elle fuira rien qu'à en sentir l'odeur. Dur donc de lui faire des plats équilibré. Mais, sous cette apparence tapageuse, Tooran est très serviable, et est docile avec son maître. Même si cela ne l'empêche pas de dire ce qu'elle pense, d'être direct dans ses propos et de montrer quand elle n'est pas contente. Vous vous régalerez par contre de ses attentions, douée pour les massages, et très câline, vous aurez sans nulle doute de la tendresse avec elle. Et, si certains se pose encore la question, oui, elle a des vices... Mais ça, vous verrez pas vous-même.
Un dernier détail à noter, elle est maladroite. Elle sera la première à se manger une baie vitrée, à trébucher sans rien qui ne l'y aide par terre, à se payer un fou rire incontrôlable pour rien, à tomber dans les escaliers, etc. Prévoyez les pansements !

PHYSIQUE

Tooran n'est pas grande, sans être petite non plus. Elle est aussi fine qu'un bâton de sucette, svelte et intrépide. Des formes de jeunes femmes tout à fait correct, elle arbore d'une jolie peau blanche et pure, de cheveux noir ébène aux reflets bleus marins, et aux yeux bleus aux reflets violets. Sa couleur préféré, pour changer, se trouve être le bleu, et elle ne manque pas de se vêtir principalement avec cette couleur qui lui sied tout à fait. Elle n'est pas extrêmement coquette, et pour tout dire, elle n'est pas très pudique non plus... Les sous-vêtements ? Elle connait pas, ça la gêne plus qu'autre chose ! Ainsi, elle portera surtout des mini shorts et des chemises ouvertes. Non, elle ne le fait pas exprès pour attirer l'oeil sur elle (elle est d'une naïveté...), mais elle se met à l'aise et ne voit pas où est le mal là-dedans.

HISTOIRE

Petite, je demandais souvent à ma mère pourquoi les humains n'avaient pas d'oreilles et de queues comme nous autres, les hybrides. Elle me répondait d'une voix douce que ils n'étaient pas tout à fait comme nous, mais ils nous étaient supérieurs. Ce à quoi je rétorquais: " en quoi ils seraient supérieurs alors que nous, nous avons un plus qu'ils n'ont pas ?". Ma mère ne répondait plus à partir de là. Elle ne savait que répondre, quoiqu'elle ne désirait pas y répondre. Pour elle, notre destinée avait été créer par les humains dans un but précis, et il n'en était autrement. Il fallait accepter notre sort. C'est parce qu'elle ne me répondait pas, et que je restais avec cette vision pessimistes des humains que je les haïssais. Pas seulement pour une simple pensée, mais aussi, parce qu'ils avaient emené mon père, j'avais seulement 3 ans. J'ai beau en avoir peu de souvenir, on m'a privé d'un père, et même si m'a mère ne leur en voulait pas plus que ça (elle prenait beaucoup sur elle), je ne pouvais faire autrement que de les haïr. Je suis née dans cette tanière, en fait il s'agit plus promptement d'une cabane perchée en haut d'un très grand sapin qu'avait fait construir mon père avant ma naissance, mais je l'ai toujours nommée ainsi. Cachée par le feuillage permanent de cet abre, nous étions en dehors de la vue des humains, longtemps, nous avons prosperé en forêt. C'était si paisible... Mais un jour où maman était partie chercher des fraises sauvages non loin, tout bascula. Elle n'est jamais revenue. J'ai attendue deux jours, toujours perchée dans ma tanière, mais en vain. Maman avait disparue. Je sû plus tard qu'elle avait été prise également par des humains. On ne peut rester indéfiniment caché, on nous trouve tôt ou tard. J'ai moi-même eu le malheur de me faire prendre, lorsque je cherchais ma mère. On m’emmener en ville, à Perfect Town. Ah ! Quel nom à la con, pensais-je. Ainsi, à 13 ans je fus transfèrée dans une de leur animalerie. Etrangement, plus le temps passait, moins ma haine était grandissante. C'est en parlant avec d'autre congénères hormis mes parents que je m'habituais peu à peu à notre condition. Fuir ? A quoi bon, tôt ou tôt, je reviendrai ici. Avoir un maître non sadique, le servir mais être confortablement installée, oh, pourquoi pas ? A 14 ans, une veille dame m'adopta, Maya-san. Avec elle, je vécue des années très tranquilles, elle m'apprit l'art de la couture, de la cuisine et du jardinage. Elle m'apprit beaucoup de chose, notamment sur l'histoire de notre planête, qui n'était pas la sienne à l'origine. Elle mouru d'un cancer lors de mes 19 ans. Je n'ai sais si j'ai autant pleurée pour la disparition de mes parents, mais je pense tout autant. De retour en animalerie, je n'avais plus de haine enfouie au fond de moi, il m'était clair que les humains n'étaient pas aussi mauvais qu'on le prétendait... Du moins, pour le peu que j'ai connu jusqu'ici, après tout, ils s'entretuent et ont détruit leur propre planête. Aujourd'hui, je suis là, en cage, à attendre je ne sais qui, ce dernier partagera ma vie, et je lui vouairai allégence. C'est ma destinée.

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